© Benoit Deville 2000_2024
Vos avis
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Magnifique
texte.
moi
je
suis
ouvrier
quand
je
nai
pas
dargent.
On
sattache
très
vite
à
un
outil,
à
un
engin,
à
une
machine.
et
jai
rien
à
dire
que
bravo,
juste
parce
que
la
forme
est
belle,
que
les
phrases
sont
courtes,
que
ça
sent
lhuile,
et
quil
y
a
de
la
limaille
par
terre.
très
belle
aussi
la
phrase
et
les
hors
champs
:
"et
je
naurai
plus
dargent
pour
nourrir
ma
famille,
partir
un
peu
en
vacances
et
la
confiance
des
miens
au
fond
de
leurs
regards
sera
perdue.Et
je
te
perdrai,
toi
aussi.
"la
machine
est
sentiment,
un
être
mélancolique
muet,
à
la
tête
de
tank.
et
même
le
licenciement, nen déplaise à Knight, je veux dire, faut bien prendre aussi congé du lecteur.
Le vendredi 23 avril 2010 par auddie sur le blog des éditions Léo Scheer
Contrairement à Marianne, je trouve que le texte est à sa juste longueur. Plus long, ce serait
casser le rythme, me semble t-il. La chute est excellente. Jai bien aimé ce rapport de
dépendance homme/machine : je taime moi non plus. Quant au style, texte très bien écrit.
Cest le premier que je lis de vous. Men vais parcourir les autres !
Juline B, le vendredi 5 mars 2010, sur le blog des éditions Léo Scheer
J’aime
beaucoup
ce
texte
qui
ose
s’aventurer
dans
lunivers
particulier
de
l’usine,
explorant
le
lien
complexe
entre
l’homme
et
sa
machine.Peut-être
y
a-t-il
matière
si
ce
n’est
à
un
roman,
du
moins
à
une
nouvelle
beaucoup
plus
longue
qui
travaillerait
la
question
du
rythme
(un
peu
comme
Bjork
dans
la
B.O.F.
de
"Dancer
in
the
dark").
Cependant,
je
ne
suis
pas
éditrice
mais
une
simple lectrice qui aime donner son avis sur les écrits des autres.
Marianne Desroziers
, le lundi 11 janvier 2010
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