© Benoit Deville 2000_2024
Vos avis
.
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J
e
viens
de
terminer
votre
livre.
Je
dirai
que
c'est
noir,
trés
noir.
Cela
me
fait
penser
à
Moravagine
de
Blaise
Cendrars.
J'ajouterai
que
la
mise
en
page
ajoute
à
la
sensation
oppressante
du
texte,
bien
écrit
à
mon
sens.
Bonne continuation
,
Claude Guillemin écrivain
Le
récit
se
déroule
comme
une
gamme
rendue
audible
par
des
doigts
experts.
Chaque
lumière,
chaque
éclairage,
chaque
prise
de
vue
viennent
hausser
le
décor
à
la
manière
d'un
dièse
ou
tamiser
la
Rencontre
comme
un
bémol.
Dans
l'entre-deux,
un
style
abondant
d'images
et
de
symboles
rend
compte
d'une
réalité
sans
cesse
évanescente.
De
la
sensualité
jusqu'au
bout
des
adjectifs,
des
regards
d'Âme
conjugués
par
une
plume
musicale.
De
la
Rengaine
du
vent
à
la
Mélancolia,
les
saisons
s'enchaînent
au
diapason
des
curs
à
prendre,
à
dessiner
et
de
ce
chur
particulier
dont
Benoît
Deville
est
le
porte-parole.
Vaste
réflexion
sur
la
vie,
Brisures,
mêle
tour
à
tour
philosophie,
vécu,
poésie,
le
tout
dans
un
tourbillon
mélodieux.
La
musique
du
début
et
de
la
fin
se
répand
comme
un
écho
de
murmures
dans
lequel
le
récit
a
gravé
ses
traces
de
sons
indélébiles
.
Préface
de
Anne
Bénédicte
Joly
Charbon,
Docteur
en
Lettres
Modernes
et
écrivain.