© Benoit Deville 2000_2024
Vos avis
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Encore
une
fois,
je
reste
sans
voix,
comme
hypnotisée.
Presque
même
eu
un
malaise.
Ce
sont
aux
"lamentations"
des
Chants
de
Child
Harold
ou
de
Manfred
que
je
pourrais,
éventuellement,
comparer
le
souffle
puissant
qui
se
dégage
de
votre
oeuvre.
Ames
trop
émotives,
peut-être
à
consommer
à
petites
doses
?
Je
suis
lessivée
!
...
Ci
dessus
car
je
sens
des
relents
quasiment
"vétéro-testamentaires"
pareils
aux
lamentations
d'un
Job
sur
son
tas
de
fumier,
par
exemple.
En
tous
cas,
son
souffle
lyrique
m'a
littéralement
"transporté",
pour
reprendre
votre
formule.
Je
trouve
que
ça
vient
de
la
tripaille.
Quant
à
VOIX,
c'est
presqu'une
mise
à
mort
"en
direct".
A
la
fin,
peut-être
un
fifrelin
de
paragraphe
en
trop
pour
éviter
la
fatigue,
et
encore.
Souvent,
il
est
question
de
la
"petite
musique",
ici
j'ai
presqu'envie
d'évoqsuer
"La
Tempête"
de
Beethoven.
D'ailleurs,
depuis
hier,
j'ai
pu
constater
que
je
n'étais
pas
la
seule
d'avoir
été
touchée.
Cela
me
rassure...
Pour
paraphraser
Benoît
Deville
(126)
je
dirais
quen
pointant
que
son
écriture
est
plus
proche
de
«
lincantation
et
de
lenvoûtement
»,
cest
vous
qui
définissez
en
deux
mots
«la
genèse
»
de
lapproche
de
ma
propre
lecture.Cest
ainsi
que
je
songeais
aux
lamentations
ou
les
louanges
voluptueuses
vetero-testamentaires,
mais
surtout
à
la
musique
quand
jévoquais
les
mouvements
de
la
sonate
Tempête
de
Beethoven,
par
exemple.
(Jaurais
bien
aimer
illustrer,
mais
je
manque
de
liens
convenables
)
Beethoven,
ou
alors
Mozart,
lorsque
dans
«
Amadeus
»,
Fischer
fait
dire
à
Joseph
II
:
«
il
y
a
trop
de
notes,
mon
cher
Mozart
!».
Il
me
semble
que
cest
dans
le
blog
de
Georges
que
jai
dû
lire
que
la
musique
était
le
plus
«
abstrait
»
des
arts.
Cest
probablement
la
raison
pour
laquelle
vous
avez
dû
ressentir
que
le
style
de
Benoît
Deville
était
moins
«
littéraire
»
quhypnotique
et
très
sensuel,
quand,
en
filigrane,
il
décline
les
quatre
saisons,
la
vie,
lamour
et
la
mort,
sujets
universels
par
excellence.
On
pourrait
aussi
le
comparer
à
ces
musiques
qui
nous
enveloppent
même
si
nous
ne
comprenons
pas
toutes
les
paroles.
Sinon,
comment
comprendre,
au
autre
exemple,
l'extraordinaire
engouement
de
la
musique
dite
populaire, rock, rap, etc, sur des foules entières ?
Avis de lecture de Pandora des Editions Léo Scheer.
Je
me
joins
à
Pandora,
et
vos
commentaires
ne
font
que
confirmer
son
"intuition"
et
son
choix.
Son coup de coeur, devrais-je dire.
Avis de Véronique de Baest sur les Editions Léo Scheer